Dimanche 7 décembre 2008 à 17:18
C'est un dimanche bien triste... Un dimanche plein de nostalgie.. J'suis triste je crois, besoin de la présence de mon jumeau.. Nos discutions qui me manquent.. Ses conseils tout pouri.. Ses blagues qui font pas rire, mais qui me font avoir un sourire comme personne ne sait faire.. J'ai peur de la vie sans lui.. J'ai peur de tout enfaite.. J'sais plus ce que je veux.. J'sais plus rien du tout.. Puttain vous imaginez pas a quel point il me manque.. Je l'aime a n'en plus savoir qui je suis.. Revien.. J't'en supli..
Mardi 2 décembre 2008 à 21:19
La lune éclaire de sa lumiere enchantée
Autour d'elle je vois les etoiles dansé
Valse efreinée a la conquete du ciel
Comme moi pierro ecrit sur sa lune de sa plume eternelle
De son coté la vue doit etre bien belle
Pour qu'il n'est plus eu envie de descendre du ciel
De mon coté la ville c'est habillée d'ailes
En eclairant telle un ange les rues artificielle
Et c'est pour sa qu'a cette heure de la nuit
Que je reste eveillé en attendant le jour que je fuis
La nuit m'offre mille merveilles, pourquoi dormirai-je
Alors que je peux m'ennivrer et tourbilloner dans son manege
Je reste la, éclairée par une bougie
En essayant de percer l'eternel secret de la nuit
Mais c'est ce qui fait son charme est son secret est impenetrable
Resignée, je continuerai jusqu'a ne plus pouvoir m'éveiller
Autour d'elle je vois les etoiles dansé
Valse efreinée a la conquete du ciel
Comme moi pierro ecrit sur sa lune de sa plume eternelle
De son coté la vue doit etre bien belle
Pour qu'il n'est plus eu envie de descendre du ciel
De mon coté la ville c'est habillée d'ailes
En eclairant telle un ange les rues artificielle
Et c'est pour sa qu'a cette heure de la nuit
Que je reste eveillé en attendant le jour que je fuis
La nuit m'offre mille merveilles, pourquoi dormirai-je
Alors que je peux m'ennivrer et tourbilloner dans son manege
Je reste la, éclairée par une bougie
En essayant de percer l'eternel secret de la nuit
Mais c'est ce qui fait son charme est son secret est impenetrable
Resignée, je continuerai jusqu'a ne plus pouvoir m'éveiller
Vendredi 21 novembre 2008 à 8:34
Une envie de rire, de sourire..
Une pensé pour sa petite bouille qui me fait craqué..
Un manque...
Une grosse pensé a mon papa qui est a l'hospital..
Une envie de hurlé a quel point tous je vous aimes,
a quel point je tien a vous,
et jusqu'ou j'irai pour vous..
Peu importe le prix,
vous n'en avez pas..
Une pensé pour sa petite bouille qui me fait craqué..
Un manque...
Une grosse pensé a mon papa qui est a l'hospital..
Une envie de hurlé a quel point tous je vous aimes,
a quel point je tien a vous,
et jusqu'ou j'irai pour vous..
Peu importe le prix,
vous n'en avez pas..
Lundi 3 novembre 2008 à 0:47
Juste un article pour une soirée en compagnie d'une fille tellement énorme que ca en devient grave.
J'veux baiser tu sais.
Mais c'est pas grave parce que t'es là.
Je t'aime toi.
Le sais-tu?
J'veux baiser tu sais.
Mais c'est pas grave parce que t'es là.
Je t'aime toi.
Le sais-tu?
Vendredi 31 octobre 2008 à 23:35
C'est un trou de verdure, où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons d'argent;
où le soleil, de la montagne fière,
Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert ou la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme:
Nature, berce-le chaudement: il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine.
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur Rimbaud.